Faking il.
Les hologrammes sur un paquet véritable Guilin artésunate blister (en haut à gauche) et ceux sur trois produits de contrefaçon.
Paul Newton, PloS Medicine (07)
Les médicaments contrefaits sont devenus un problème majeur de santé publique dans de nombreux pays en développement. Mais ces régimes mortels peuvent être déjoués si les responsables de la santé publique, les scientifiques et la police se donnent la main à travers les frontières, un article dans le numéro actuel de PloS Medicine montre. La recherche a conduit à l'arrestation de deux personnes en Chine en 06 et peut-être aidé à proximité ligne de médicaments antipaludiques contrefaits en Asie du Sud-Est l'un d'approvisionnement
Le groupe -. Sous les auspices de l'Organisation internationale de police criminelle (INTERPOL ) et de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) bureau régional à Manille - étudié les contrefaçons d'artésunate, un médicament contre le paludisme produit par Guilin Pharmaceutical en Chine et largement vendues dans les pharmacies privées en Asie du Sud-est. Les chercheurs ont achetés ou recueillis 391 échantillons de ce qui a été vendu comme l'artésunate de Guilin au Vietnam, Cambodge, Laos, Myanmar, et les zones frontalières de la Thaïlande. Une inspection de l'emballage a révélé que beaucoup étaient contrefaits: Dans presque la moitié des échantillons, le petit hologramme Guilin utilise pour garantir l'authenticité avéré être un faux. (Certains étaient «terrible», dit Paul Newton de l'hôpital Mahosot de Vientiane, au Laos, le premier auteur du papier, d'autres étaient si convaincantes que même les experts du paludisme ne peuvent pas les distinguer à l'oeil nu.)
Analyse chimique a montré toutes les pilules avec des hologrammes faux pour être faux. Certains ne contenaient un peu d'artésunate, jusqu'à 12 milligrammes par comprimé, alors que les comprimés authentiques ont 50 milligrammes. Ces faibles doses, peut-être ajoutés pour contrecarrer les tests d'authenticité simples, sont particulièrement dangereux, Newton note, car ils peuvent provoquer une résistance chez le parasite du paludisme. D'autres pilules contenaient aucune artésunate du tout, mais un large éventail d'autres composés actifs -. De paracétamol et de la chloroquine, un vieux médicament contre le paludisme qui est désormais inutile en Asie du Sud-Est, à safrole, un précurseur cancérogène pour l'ecstasy du parti
laboratoires participants ont également analysé des quantités infimes de pollen et de composés minéraux non actifs présents dans les pilules, ce qui les a amenés à conclure qu'ils ont été très probablement produites quelque part dans le sud de la Chine. Tous les éléments de preuve ainsi suggéré qu'il y avait au moins deux producteurs de faux artesunates: celui qui a fait un «groupe ouest» de contrefaçons se trouve principalement au Myanmar, le long de la frontière entre la Thaïlande / Myanmar et le nord du Laos et une autre production du «groupe l'est" trouvé au Vietnam , le Cambodge et le sud du Laos. Après INTERPOL a présenté les données au gouvernement chinois en Mars 06, une enquête criminelle a conduit à deux arrestations tard cette année. Une des personnes arrêtées était originaire de la province du Yunnan qui aurait acheté 240.000 paquets de faux artésunate, dont la plupart il a vendu au Myanmar. L'autre était le vendeur des médicaments; le producteur est considéré comme toujours.
Que les arrestations ont réduit la quantité de médicaments contrefaits sur les marchés du sud-est incertaine. Pour commencer, les chercheurs pensent que la police chinoise ne peuvent ont pris la route commerciale ouest. Il peut y avoir beaucoup plus de producteurs ou de routes que ces deux, dit Valerio Reggi, un expert en contrefaçon de médicaments au siège de l'Organisation mondiale de la Santé qui n'a pas participé à l'opération. Pourtant, les collaborations internationales comme celui-ci sont essentiels pour lutter contre le problème, dit Reggi. Son succès a contribué à inspirer l'OMS pour lancer l'International Medical Products Anti-Counterfeiting Taskforce en 06.
Même si, dit le chercheur du paludisme Nicholas White de l'Université Mahidol à Bangkok, beaucoup plus doit être fait pour arrêter le flot de faux médicaments . Les gouvernements nationaux devraient être plus agressifs, par exemple, et les sociétés pharmaceutiques devraient être tenus de dire aux autorités drogue régulation quand ils découvrent leur drogue est truqué; actuellement, beaucoup ne le font pas par peur il ternir l'image du produit.
La plupart des spécialistes du paludisme conviennent que même le véritable artésunate produit par Guilin devrait sortir sur le marché dès que possible. Bien efficace contre le paludisme, l'OMS dit artésunate doit être vendu que dans soi-disant thérapies combinées pour retarder ou empêcher l'apparition d'une résistance chez le parasite du paludisme.
Sites connexes
- Le document
- Le site Web d'IMPACT
- Une présentation par l'expert de l'holographie David Pizzanelli, co-écrit par Paul Newton, sur hologrammes trouvés sur les paquets de faux artésunates
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