"Ceci est le genre d'étude où vous pensez« Oui, je peux croire ces résultats, "parce qu'ils cadrent bien avec ce que les scientifiques savent sur le développement du cerveau du fœtus, dit scientifique cognitive Karin Stromswold de l'Université Rutgers, New Brunswick, dans le New Jersey.
Un fœtus commence à entendre à environ 24 semaines de la gestation, comme les neurones migrent et forment des connexions en cortex auditif, une région du cerveau qui traite les sons, Stromswold explique. Une fois que le cortex auditif commence à fonctionner, un fœtus entend normalement la plupart du temps les sons basse fréquence en son rythme cardiaque de la mère, par exemple, et la mélodie et le rythme de sa voix. tons plus élevés de fréquence effectuées en dehors du corps de la mère, tels que les consonnes, sont largement étouffées. Les chercheurs croient que cette introduction à la mélodie et le rythme de la parole, avant d'entendre les mots individuels, peut être un élément clé de l'acquisition précoce du langage qui obtient perturbé quand un bébé est né trop tôt.
En plus d'être bombardés avec les lumières, les odeurs chimiques, et les sons aigus de l'unité de soins intensifs d'un hôpital, preemies sont largement privés des sensations qu'ils recevraient dans l'utérus, tels que le rythme cardiaque et de la voix de leur mère, dit Amir Lahav, un neuroscientifique à Harvard Medical School à Boston. Bien que les mères sont parfois autorisées à détenir des nouveau-nés prématurés pour de courtes périodes de temps, les enfants sont souvent considérés comme trop fragiles pour quitter leur température et incubateurs à humidité contrôlée, dit-il. Preemies ont souvent les yeux couverts pour bloquer la lumière, et des études antérieures ont montré que la réduction des niveaux globaux de bruit à haute fréquence dans une unité néonatale de soins intensifs par la diminution du nombre d'incubateurs dans une unité, par exemple, ou de donner preemies earplugs- peut améliorer les résultats des bébés prématurés. Peu d'études ont activement simulé un environnement in-utero, cependant, dit-il.
Pour tester si les sons d'un foetus entendrait in utero peut avoir un effet positif sur preemies, Lahav et ses collègues ont demandé aux parents de 40 de ces bébés à l'hôpital Brigham and Women à Boston pour leur participation à une expérience de monthlong. Les chercheurs ont demandé aux mères de la moitié des nourrissons pour chanter et lire "Twinkle, Twinkle, Little Star" et Goodnight Moon dans un studio d'enregistrement et d'enregistrer leurs battements de cœur à travers un stéthoscope connecté à un microphone. Les scientifiques ont ensuite enlevé les tons de fréquences plus élevées des enregistrements et d'ambiance le son reste pour des sessions de 45 minutes totalisant 3 heures par jour dans les incubateurs de 21 nourrissons, tandis que les autres nourrissons ont reçu des soins standard. Après 30 jours, ils ont comparé les images échographiques du cerveau des deux groupes.
Les bébés exposés à la voix de leurs mères avaient corticales auditives nettement plus épais que ceux du groupe témoin, les chercheurs rapportent en ligne aujourd'hui dans le Actes de l'Académie nationale des sciences . Bien que la croissance accrue ne prouve rien sur la façon dont les enfants feront plus tard, «nous savons par d'autres études qui plus grand est meilleur" en ce qui concerne le développement du cerveau dans cette région, dit Lahav. Ensuite, dit-il, l'équipe prévoit de suivre les jeunes enfants jusqu'à l'âge scolaire pour voir si elles développent l'audition ou de la parole des problèmes à mesure qu'ils grandissent.
Le fait que les chercheurs ont constaté des différences dans la structure du cerveau après seulement 30 jours correspond bien avec les théories existantes sur le développement du cerveau chez les prématurés de, dit Stromswold. L'étude présente plusieurs faiblesses, cependant, elle note. L'une est qu'il y avait plus de cinq femmes dans le groupe de traitement par rapport au groupe témoin. preemies femmes ont tendance à faire mieux que les hommes font, en particulier là où la langue est concernée, de sorte que le déséquilibre pourrait avoir faussé l'analyse du groupe pour favoriser un résultat positif. Une autre est que le groupe n'a pas comparé "avant" et "après" des ultrasons pour voir comment le cerveau de chaque enfant individuel a changé au fil du temps, dit-elle. Au lieu de cela, "tout ce qu'ils disent est que, après 30 jours d'exposition, nous trouvons une différence entre les groupes." Les prématurés ont reçu des échographies de routine immédiatement après la naissance pour exclure des lésions cérébrales, Lahav dit, mais les images étaient trop grossier à utiliser pour la comparaison.
Lahav accepte que des études plus vastes et plus détaillées sont nécessaires pour confirmer les résultats de son équipe et il avertit que ces interventions ne peuvent jamais être assez pour contrer les nombreux problèmes de santé preemies sont confrontés. Pourtant, dit-il, l'étude suggère que même 3 heures par jour d'exposition à des sons in-utero "peut être suffisant pour mettre le cerveau sur la piste de développement à droite."
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